
Après une terrible nuit en companie de voisins bruyants et irrespectueux sur les couchettes dures d'un vieux train Pékin-Weihai, nous descendons à Laiyang où Nono nous attend. La maison du marié est déjà en pleine ébullition : on colle et on accroche des papiers découpés et des pandeloques, on a invité les voisins pour produire des raviolis en quantités industrielle pour le repas du soir. La suite en images.
Le double bonheur, placardé sur chaque fenêtre
Au dessus du lit, dans la chambre à coucher, une incitation à...
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