21 juin 2008
Acharnement thérapeutique
Finalement,
les massages un jour sur deux, aussi douloureux soient-ils, on s’y fait bien. Je
me sens un peu Audrey Tautou dans un long dimanche de fiançailles, ou comme une
grosse dame qui ferait des traitements réguliers anti-cellulite. J’ai même mon
masseur attitré (en plus du docteur, en deuxième partie de séance). Aujourd’hui,
je l’ai appelé « mon pote » en pékinois, ce qui a déclenché l’hilarité
générale. Si je ne venais pas de trouver un job, j’envisagerais clown d’hôpital.
Mais
aujourd'hui, j’ai connu la... [Lire la suite]